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Affichage des articles du 2024

Auton de bueus 2024 - Il est urgent d'attendre...sans faire de vagues !

Chapiteau à avant-train de taureau   Elément de la salle d'audience du palais de Darius 1er Iran vers 510-500 av.J.C Louvres - Paris Lorsqu'en 2019, l’élection des premiers représentants des peñas montoises qui intégreraient la CTEM pour porter les attentes des peñas tout en s'assurant, au plus près, de leur bonne prise en compte, eut pour résultat, la Peña Escalier 6 et la Peña Los Pechos, nous nous sentions obligés de communiquer. Ainsi, dans un billet publié sur ce site et intitulé, le " Fil de notre réflexion" (à retrouver ici ), nous concluions par ceci : " L'un de nos membres remplira la fonction qui lui a été confiée avec le sérieux et l'application qu'on lui connaît. Il a été élu pour représenter LES peñas et c'est ce qu'il fera ! La Peña Los Pechos quant à elle, continuera de dire ce qu'elle pense, dans l'indépendance et la liberté d'expression qui ont toujours été siennes vis-à-vis du traitement de la question taurine

Estivat de Bueus 2024 : Gilets jaunes, bordélisation, tu t'es déjà mis devant des cornes ? t'as qu'a y aller, toi, pédé va ! - Humeur post Madeleine

Crédit photo - Aitor LARA - MAESTRANZA - www.aitorlara.com On ne va pas s'appesantir à notre tour sur le pauvre contenu taurin de la Madeleine 2024. Tout a déjà été dit, écrit, raconté et commenté, et nous ne pouvons que souscrire à toutes ses expressions de  déception.  Non ! Nous, on souhaite aborder l'exercice du bilan sous un autre angle; celui de la liberté d'expression, car ça nous semble être la pierre angulaire de cette édition 2024 ! Aller aux toros, par définition, pour l'immense majorité des spectateurs, aficionado ou non, c'est d'abord regarder le cartel qui est proposé par l'organisateur et décider, selon sa sensibilité, de passer par le guichet pour y acheter une place.  C'est cette démarche, et uniquement celle là, qui fait tourner économiquement le système taurin. Alors bien sûr, il faut des éleveurs pour fournir les toros, des toreros pour les affronter, des organisateurs pour aller choisir les toros et engager les toreros, et des apoder

Primavèra de boéus 2024 : Moisson de bonbons, Mugron 2024

En ce dimanche pascal, les cloches taurines ont déversé des novillos en chocolat sur les coquettes arènes de Condrette, joliment garnies. Les 6 novillos de chez Balatasar Iban étaient de purs bonbons, à différents degrés (mention spéciale pour le cinquième de l'envoi, un bonbon de chez bonbon tout droit sortie de la fabrique de Willy Wonka). Malheureusement, quand il y a trop de bonbons, les enfants ont tendance à gâcher. Les novilleros du jour ne feront pas exception ! A commencer par Alejandro Peñarranda qui fut hors de propos, décroisé, désarmé, déconfit devant son premier,  petit novillo noir, n° 64 , plutôt commode d'armure (basse et courte) et de présentation mais qui montra de réelles qualités de bravoure au cheval et qui ne demandait qu'à être croqué gouluement. Alejandro n'en fit rien, ne trouvant jamais ni la distance, ni le sitio, ni, comme nous l'avons dit, sa muleta. Demie vulgaire. Du gâchis ! Silence et applaudissements discrets à l'arrastre .

Les chiens de Pavlov

Source image - madinin-art.net I van Pétrocich PAVLOV était médecin, physiologiste et russe. A la fin du XIXième siècle , à l’heure où le Moun inaugurait notre Plumaçon , Pavlov, lui, entreprenait de mettre en évidence les conditions d’apparitions du réflexe conditionnel . Durant quatre années, pour les besoins de ses expériences, Ivan incisait la joue d’ un chien afin d’y insérer un tuyau destiné à récolter la substance produite par la glande salivaire de l’animal. Après avoir éprouvé différentes situations, le médecin russe mit en place le protocole qui liera pour l’éternité, son nom à celui de réflexe . A chaque fois qu’ Ivan Pétrovitch s'apprêtait à nourrir son chien cobaye, il produisait un stimulus sonore : le tintement d’une clochette, le son d’une fourchette que l’on choque avec vigueur contre du métal, le bruit court mais vif d’un sifflet et même le battement régulier d'un métronome. Il s’aperçut alors, que le chien produisait de la salive, signe d’une attente de