Plaza de toros de Céret
Céret 2023
1/3 - Corrida de Peñajara
6 Peñajara de Casta Jijona, à la présentation plus Domecq/Victoriano que cérétane.18,19,20..30 piques. On ne les compte plus, mais on cherche toujours l’utilité des piques et la bravoure des toros. Prix du meilleur piquero à Sendoval junior, qui a plus était un vaccinateur de Covid à la chaîne qu’un vrai piquero.
Soleil tapant, tendido plus ou moins vides.
Rafael Rubio Rafaelillo, passa son après-midi comme sur une étape du Tour de France pour les sprinteurs. Gestion de loin. Au 4e plutôt dangereux, il prit un coup de corne sous l’aisselle. Rien de grave.
Alberto Lamelas s’éternise à ses deux toros. Il a plus d’envie que ses toros, ça se voit et ça s’entend un peu trop.
Javier Cortes a passé son temps à étouffer ses deux toros qui demandaient plus de distance. Il a presque failli nous étouffer nous aussi.
Corrida d’un 14 juillet bien terne…
comme d’habitude… una caña et ça repart.
Soirée Koh Lanta au bar de l’Adac.
2/3 - Où est passée la lumière ?
1 vrai Saltillo et 5 toros Saltillo style contrefaçon du Pas de la Case.Encastés, dangereux, du noblito au noble.
5e bis de Los Maños imprésentable et insipide mise à part une sortie façon boulet de canon cabri.
Javi Sanchez Vara (banderilles catalanes indépendantistes et or) fut comme à son habitude un vrai chef de lidia. Mais est resté comme la pluie à Céret… lointain et hypothétique.
Damian Castaño (frère de Javier et or) est toujours le frère de Javier mais gagne de l’or à chaque passe de son premier. Quel pundonor pour couper cette oreille. Quelle épée 😍🔥 !!!
Plus anecdotique sur le pâle exemplaire de Los Maños.
Maxime Solera (ivoirien et or) a vu son premier toro se faire pousser par le cheval de la cavalerie Bonijol. À son deuxième, toute lunette infrarouge dehors, n’a pas réussi à rallumer la lumière au propre comme au figuré.
Alvaro de la Calle (Blanc poche plastique et or) a été dépassé par le très bon premier. Grosse rouste au moment de la mort.
Javier Cortes (vert olive et noir) a été appliqué et courageux tout au long de la tarde tout en restant un peu loin des trois Escolar et brouillon.
Gomez Del Pilar (vert Get Perrier et or) aura été impérial tout au long de la soirée. A fait planer une émotion comme rarement, accompagné par deux bons Escolar !! Des toros, un torero, sans tourner en rond, avançant la jambe, on en redemande.
Javi Sanchez Vara (banderilles catalanes indépendantistes et or) fut comme à son habitude un vrai chef de lidia. Mais est resté comme la pluie à Céret… lointain et hypothétique.
Damian Castaño (frère de Javier et or) est toujours le frère de Javier mais gagne de l’or à chaque passe de son premier. Quel pundonor pour couper cette oreille. Quelle épée 😍🔥 !!!
Plus anecdotique sur le pâle exemplaire de Los Maños.
Maxime Solera (ivoirien et or) a vu son premier toro se faire pousser par le cheval de la cavalerie Bonijol. À son deuxième, toute lunette infrarouge dehors, n’a pas réussi à rallumer la lumière au propre comme au figuré.
Soirée Rire et chansons.
Le coin barrera surchauffe entre la bière et le "ta gueule".
Prochain sujet de philosophie : " Est-ce que se croiser ce n’est pas étouffer le toro ?"
Vous avez la fin de la temporada pour y répondre...
3/3 - La Ultima
6 Escolar bien présentés, même si le lot semble plutôt "desigual". Caste au rendez-vous. Bravoure pas vraiment, excepté le 5 le plus complet du lot. Noblesse piquante comme dise les pros. Les papiers étaient demandés, Noé aura laissé carte vitale, identité, passeport, permis de conduire et tout ce qui s’en suit.Alvaro de la Calle (Blanc poche plastique et or) a été dépassé par le très bon premier. Grosse rouste au moment de la mort.
Javier Cortes (vert olive et noir) a été appliqué et courageux tout au long de la tarde tout en restant un peu loin des trois Escolar et brouillon.
Gomez Del Pilar (vert Get Perrier et or) aura été impérial tout au long de la soirée. A fait planer une émotion comme rarement, accompagné par deux bons Escolar !! Des toros, un torero, sans tourner en rond, avançant la jambe, on en redemande.
À la fin de la course, énorme ovation de despedida pour Noé, belle ovation à Don José Escolar Gil durant la tertulia.
Couché de soleil sur le Plumaçon - Photo : Philippe Wargnier
Mont de Marsan 2023
1/5 - les "Garcimoches" au rendez vous.
6 novillos aux cornes douteuses et désastreuses de Garcigrande / Domingo Hernandes.Rien ne ressort de cette corrida mise à part la laideur et la fadeur.
Soseria quand tu nous tiens !
Andrés Roca Rey (robot et or) est aussi Soso que les toros qu'il a imposés à la CTEM montoise. Plus de profil que ça, on se retrouve dans les portraits flamands modernes, voire les hiéroglyphes égyptiens. De la superficialité qui porte sur les gradins, oreillette sur oreillette. Circulez, y'a rien à voir !
Tomas Rufo (béton et gris déprime) tomba sur le pire lot d’une corrida... c'est dire ! Adios. Rideau.
Yon Lamothe (robe de mariée et or) a subi l’émotion de son alternative. Touche le moins pire de l’envoi, comprendre avec un poil de caste et de noblesse. À revoir avec un peu plus de bagage technique et moins d’émotion...
Andrés Roca Rey (robot et or) est aussi Soso que les toros qu'il a imposés à la CTEM montoise. Plus de profil que ça, on se retrouve dans les portraits flamands modernes, voire les hiéroglyphes égyptiens. De la superficialité qui porte sur les gradins, oreillette sur oreillette. Circulez, y'a rien à voir !
Tomas Rufo (béton et gris déprime) tomba sur le pire lot d’une corrida... c'est dire ! Adios. Rideau.
Yon Lamothe (robe de mariée et or) a subi l’émotion de son alternative. Touche le moins pire de l’envoi, comprendre avec un poil de caste et de noblesse. À revoir avec un peu plus de bagage technique et moins d’émotion...
Mieux vaut tout donner à l’apéro le soir qu’à la corrida l’après-midi.
2/5 - les Fraile à 0 de moral.
3 toros de El Pilar et 3 chasseurs d’araignées aux cornes en plumeaux.D’une faiblesse affligeante.
D’un moral tout aussi affligeant.
Une Présidence tout aussi affligeante... Une corrida qui fait mal à la corrida.
Sébastien Castella (blanc feria et or), applaudi chaleureusement à la sortie du paseo, a été aux abonné absents. Seul Madrid a semblé être un bon passage pour Sébastien cette année.
Mais après tout, si on change 40 lettres à Madrid, ça fait Mont de Marsan non ?
Daniel Luque (bleu infirmerie et or) a joué principalement au docteur à son premier, et de quelle manière. Dani sauve les tardes d’un ennui généralisé… Mais a tué de mauvaise manière, c’est pas grave la présidence en sourit encore.
Dorian Canton (marron châtaignier et or) a été le seul sérieux de l'après-midi.
Daniel Luque (bleu infirmerie et or) a joué principalement au docteur à son premier, et de quelle manière. Dani sauve les tardes d’un ennui généralisé… Mais a tué de mauvaise manière, c’est pas grave la présidence en sourit encore.
Dorian Canton (marron châtaignier et or) a été le seul sérieux de l'après-midi.
Il prit une sévère châtaigne pour rappel à l’ordre. Et un estaconazo de categoria lui permit de couper logiquement.
Corrida et élevage inutile sauf pour Dorian.
Bien loin du moral et du moteur que pourrait avoir des Fraile.
Le week-end doit (devrait) nous amener des toros..
Novillada piquée à oublier…
3 Cuillé supérieur de présentation que les 19 toros vu depuis le début de Madeleine, et 3 Cuillé qui ont plus vu le salon de coiffure que les prairies. Indigne !Une novillada totalement mansada. Un fond de bravoure et de caste dans le 2e.
Présidence de la matinée totalement à côté de la plaque !
Présidence de la matinée totalement à côté de la plaque !
Des oreilles, des vuelta au toro… bref, si on ne touche pas encore le fond, on s'y approche !
Solalito a donné l’impression d’être le plus vert des trois novillero. À deux mois de son alternative c’est inquiétant.
Solalito a donné l’impression d’être le plus vert des trois novillero. À deux mois de son alternative c’est inquiétant.
Neck Romero a été le plus intéressant de cette pauvre matinée. sentant les novillo et toréant a gusto dans le terrain approprié.
Tristan Barroso, doit encore se demander comment il a pu sortir a hombros du Plumaçon et nous avec !
3/5 - Si no hay toros…
Tristan Barroso, doit encore se demander comment il a pu sortir a hombros du Plumaçon et nous avec !
Sous le soleil, sans novillos limpios, ni présidence sérieuse, rien ne sert de s’éterniser…
6 petits toros de Cebada.
Peu présentable, sans caste, sans moteur,… et corrida mansada dans son grand ensemble.
Les Cebada sont dans une triste passe sans fond…
Domingo Lopes-Chaves (rouge dacquois et or) n’était pas du tout présent pour ses adieux. Sûrement à cause de sa couleur de costume… No pasa nada.
Fernando Robleño (colonel moutarde et or) a été le seul vrai torero de l’après-midi au 5e. Torero mais pas matador… que pena ! Vuelta dans l’indifférence… seul les vrais savent.
Jesus Enrique Colombo (bleu pastille contre l’ennui et or) a été le seul à porter sur un public qui avait sombré dans l’ennui et sombré dans le Pueblerino… que pena ! A coupé son premier toro en deux à la mort. L’estocade de l’année.
Le reste… Rien !
Troisième course, on plonge dans l’ennui ! Le public Montois plonge quant à lui dans le n’importe quoi…
4/5 - On va finir pas trouver du pétrole
5 toros et 1 crevette novillo de Soso La Quinta.Du Buendia Domecquisé ou du Domecq Buendié, c'est au choix.
Bref, encore une fois on passe à côté d’une tarde de toros.
Un poil de bravoure au 2e et au 6e mais c’est bien mince…
Présidence totalement inutile et inconséquente. Une honte !
Daniel Luque (vert et noir du drapeau de Seville) a passé une après-midi plutôt tranquille.
Présidence totalement inutile et inconséquente. Une honte !
Daniel Luque (vert et noir du drapeau de Seville) a passé une après-midi plutôt tranquille.
"Je vous trouve un charme fou, ce petit je-ne-sais-quoi, moi, qui va me rendre flou".
Sans rien faire Dani coupe deux oreilles.
"Il m'en reste un peu je vous le mets quand même ?"
Emilio de Justo (Purple Rain Prince et or) a eu tout faux sur toute la ligne.
Emilio de Justo (Purple Rain Prince et or) a eu tout faux sur toute la ligne.
Passe à côté du "bon" deuxième, ne voulant pas le voir.
A son second, la présidence en mode "Palavas les flots" les tongs aux pieds, les yeux plein de sable récompensa la superficialité d'Eimilio de deux oreilles, et prima d'une vuelta un toro insignifiant.
"Il m'en restait un peu alors je vous l'ai mis quand même ! Une farce indigeste !"
Clemente (bleu pañuelo de la Madeleine et or) entama en tournant comme dans un manège place du Sablar. Puis, il descendit du manège et donna de vrais gestes de torero à son deuxième.
Clemente (bleu pañuelo de la Madeleine et or) entama en tournant comme dans un manège place du Sablar. Puis, il descendit du manège et donna de vrais gestes de torero à son deuxième.
Une oreille de poids, légitime (enfin) après une mise à mort engagée, courageuse et malheureusement accidentée. Olé torero !
Bravoure et caste, notamment le 6e, à des degrés différents. Noblesse pas vraiment là.
Sans un profond ennui mais sans intérêt majeur non plus.
Rafaelillo aura été propre à la muleta et impropre à la lidia du tercio de varas.
Lamelas a été brouillon de part en part de cette corrida. Toujours ce courage certes mais bien trop "chiffonnier"…
Dufau pour sa dernière corrida au Plumaçon a été serieux, même dans ses adieux.
Dani et Émile ont eu le bon goût de sortir à pieds ensemble, par respect pour Clemente, seul vrai torero de l'après-midi.
Le mauvais goût restant exclusivement à la présidence et au Conradi.
Du Domecq ou du Santa Coloma, oh, te bile pas, c'est pareil !
A Mont de Marsan on défend la tauromachie sans toro... c'est un concept !
5/5 - Quand rien ne va...
6 Pedraza, haut, épais et aux cornes souvent sans pointes. Toutes, sauf exception par ci par là, ont finies en plumeau…Bravoure et caste, notamment le 6e, à des degrés différents. Noblesse pas vraiment là.
Sans un profond ennui mais sans intérêt majeur non plus.
Rafaelillo aura été propre à la muleta et impropre à la lidia du tercio de varas.
Lamelas a été brouillon de part en part de cette corrida. Toujours ce courage certes mais bien trop "chiffonnier"…
Dufau pour sa dernière corrida au Plumaçon a été serieux, même dans ses adieux.
Sin toros no hay corrida, sin corrida no hay fiesta !