Toro de Dolores Aguirre - Photo : ceret-de-toros.com
Céret de Toros 2022
(1/3)
Du Dolorès dont on redemande
Cinq Dolorès Aguirre magnifiques, supérieur le 6, une estampe.Le 2 impropre avec ses cornes en plumeau dès la sortie et aggravant en tapant aux planches.
1er noble mais impassable à gauche , 5e et 6e braves et nobles.
4e très bon, mal piqué, ouvrant une porte du callejon et explosant des planches.
3e manso.
Bravoure, noblesse, exigence et caste au rendez-vous.
On aime les courses et les Dolorès comme ceux-là.
Alberto LAMELAS, get 27 blanc et or, à donner de bonnes séries à droite au 1er et au 4.
Alberto LAMELAS, get 27 blanc et or, à donner de bonnes séries à droite au 1er et au 4.
Plus compliqué à gauche au premier. Plus passable au 4e.
Alberto affiche un manque de technique mais un courage à tout épreuve.
Oreille qui chagrine « les professionnels » mais qui ne pèse pas moins qu’une oreille de Morante parce qu’il a pégué 3 derechazos !
ROMAN , violet indéfini et or, devient Morantiste et coule tel le Titanic croisant un iceberg à son premier. Passons.
ROMAN , violet indéfini et or, devient Morantiste et coule tel le Titanic croisant un iceberg à son premier. Passons.
Au 5e, le toro tente un bondage SM avec le cheval du piquero, accrochant sa corne sous la selle après l’avoir soulevé contre les tablas. Roman aura de bons passages à droite sans pour autant peser sur le toro. Interminable à la mort.
Maxime SOLERA, vert bouteille opaque et or, reçoit magnifiquement au capote le 3e manso, mais poursuit de manière devint brouillonne à la muleta n’arrivant jamais à trouver la distance. Rideau.
Au dernier, Maxime va arracher 2 belles séries à gauche dont une naturelle profonde avec la main hyper basse. Malheureusement, il se perd aux épées. Deux avis qui frôlent le 3e.
Maxime SOLERA, vert bouteille opaque et or, reçoit magnifiquement au capote le 3e manso, mais poursuit de manière devint brouillonne à la muleta n’arrivant jamais à trouver la distance. Rideau.
Au dernier, Maxime va arracher 2 belles séries à gauche dont une naturelle profonde avec la main hyper basse. Malheureusement, il se perd aux épées. Deux avis qui frôlent le 3e.
Un lot de chez Dolorès comme celui-là, on en redemande encore et encore !
Le béton nous brûle le c**, la bière ne nous refroidit même pas.
Chaleur désertique. Les faenas un poil longuettes. Les toreros passant à côté des possibilités des Dolorès.
Demain, on se prépare à la guerre.