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Affichage des articles du 2015

Franchement, t'as l'art de quoi ?

L'art à première vue ça se déplace en bus. Artistique le bus. Noir, sérigraphié, d'une discrétion appréciable qui en dit long sur l'humilité de son propriétaire. Et si le doute vous habitait encore la devise inscrite sur les flancs du véhicule ostentatoire à souhait, en lettres d'argent, devrait finir de vous convaincre « El arte no tiene miedo ». Je sais pas s'il n'a pas peur l'art, mais en tout cas il a un ego « comme as ». Et c'est là qu'une question s'insinue insidieuse comme une évidence : les Picasso, Miro, Dali et autres Braque et Vasarely ils se déplaçaient comment ?... Bref, un boulard le mec ! Mais quand t'annonce la couleur comme ça, il faut pas se planter, et c'est là que c'est drôle. Morante, ces deux toros il est passé à côté. D'aucuns vous diront que c'est à ça qu'on reconnaît les grands artistes, ils fracassent plus qu'ils ne triomphent. Mais quand ils triomphent... !!! ... Mouais un peintre

Mais qu'est-ce qu'on attend...

... de la Madeleine 2015... merdique, incompétents, mégalos, sados/masos, ego, capitalistes, foutage de gueule, Domecq, mano a mano, trou du cul, binocle, sur mesure, Mont de Marsan s'écrit avec un "s" connard, Sètois, folklore, Plumaçon pleure, piquée (sic), Garcimore, Padilla/Manzanares/Dufau ça choque personne ?, Lady Gago, Marie SARA (fistole) ou (fistule) au choix !, Laurent Fandiñon, foutaise, la vierge Mari, équilibre, ni fait ni à faire, Victorino : la vache !, Perez Mota comme la glace ?, excuses, "la crise" elle a bon dos, touche pas à mon aficion, invalides, la "majesté" mon cul !, plat, NUL, argent public, lassitude, apéro forcé, Et Fernando c'est du poulet ?, gratte à la porte de Ponce, Béziers, Conseil Consultatif Taurin, guignols, chiale !, Re-NUL, l'homme au double prénoms, Bernard Domb (and domber), Cebada Gago comme les chaussures à pompons ?, Dacquoiseries, chevaliers du fief, petits cons, jamais mis les pieds, "Hech

Seul contre 6

Quel point commun y a-t-il entre Victorino Martin, Escolar Gil, Adolfo Martin, Palha, Cébada Gago et Partido de Resina. La réputation, certes, le culte du toro-toro, certes, être peu représentés dans les grandes arènes et les carteles de toreros "banquable" certainement. Mais il en existe un autre... Le 29 mars, ces élevages là, seront réunis sur le sable madrilène. Le 29 mars, Ivan Fandiño, celui qui survole le monde taurin actuel sera en quête de vérité et de légitimité bien nécessaire après deux temporadas de facilité. Ivan Fandiño va renouer avec ce qui a fait de lui un torero important : le toro de respect.  En 2014, à Mont de Marsan, Ivan s'était affiché avec des toros de La Quinta, et El Juli par la même occasion, ainsi que des bien piètres Joselito et Fuente Ymbro.  Aujourd'hui, par cette affiche "couillue" il redore son blason et remonte dans l'estime des aficionados a los toros de verdad. Suerte !

Should we stay...

Devons nous y rester, ou devons nous en partir ? Telle est la question que nous nous sommes posée à la suite de la dernière réunion du CCT. Le Conseil Consultatif Taurin. Groupe de travail, non, de réflexion, non, de discussion, non, de présence, oui c'est ça de présence, censé légitimer les choix de la commission taurine et donc du prestataire Kika (Marie Sara, Simon Casas). Cette interrogation cela fait un petit moment qu'elle trotte dans nos têtes. Certains sont clairement pour se casser, d'autres trouvent des arguments pour rester. Pour le moment on y va. On ne sait pas bien pourquoi. En face de nous, le président GF, quelques membres de la commission taurine, Didier Cabannes, et les survivants de l'aficion montoise que ce genre de réunions occupe les longues soirées d'hiver. Le tableau n'est pas glorieux. Une moyenne d'âge ne passant pas en-dessous de la barre symbolique des 50, une vision de la tauromachie ne dépassant pas les icones des années

Je suis Charlie ... Viard

Depuis le 7 janvier, il y en a eu des réactions. Des ralliements feints et fins, des grossiers, des sincères, des tardifs, des poussifs, des à reculons et des à oublier... bref, il fallait "être Charlie". Cette pancarte "Je suis Charlie" était le signe distinctif et ostentatoire d'un peuple choqué, ébranlé, blessé dans sa chair. Il fallait réagir face à cet attentat visant la liberté d'expression par le biais d'un de ses médias "Charlie Hebdo". Or certains n'ont pas compris le message. Ils se sont abstenus. Abstenus de marcher, abstenus de revendiquer, abstenus de compatir et de réagir. Cette abstention s'entend. Il faut comprendre qu'il y a des gens qui ne croient plus dans le pouvoir du peuple. Comment les en blâmer ? D'autres ont tout simplement voulu défiler sans rien afficher d'autre que leur colère et/ou leur tristesse et/ou leur effrois. Jugeant à juste titre ce simple slogan trop réducteur et minimal

La peña Los Pechos est Charlie

Jean CABUT "Cabu" 13 janvier 1939 7 janvier 2015 Stéphane CHARBONNIER "Charb" 21 août 1967 7 janvier 2015 Bernard VERLHAC "Tignous" 1957 7 janvier 2015 Georges WOLINSKI 28 juin 1934 7 janvier 2015

Bonne année les Zazs !

C'est de saison... on se souhaite la bonne année. On espère toujours que le début d'un cycle symbolise au pire un changement, au mieux une amélioration. Et par tradition nous nous présentons nos vœux. Que l'on soient amis, parents, ou juste une vague connaissance planquée au fond d'un répertoire de smart phone tout le monde y passe. Le même message pour tout le monde, qu'importe le fond c'est la forme qui compte... sauvons les apparences, "j'ai souhaité la bonne année à tout le monde, pourvu que je n'ai oublié personne !" voilà la préoccupation première tout juste les 12 coups de minuit sonnés ! Alors à défaut d'être inspirés ou originaux, essayons de la jouer fine. On pourrait présenter nos vœux en déclarant "Saluons ensemble cette nouvelle année qui vieillit notre amitié sans vieillir notre cœur." à la manière de Victor Hugo, ou "Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre po