Quand il y a encore peu de temps on demandait à être pincer, c'était pour montrer notre enthousiasme à la vue des élevages et des rendez-vous qu'offrait le futur Céret de Toros. Aujourd'hui nous demandons également à être pincer, mais la démarche est différente. Ce n'est pas un pince moi avec un sourire béat que nous demandons, mais plus un pince moi d'incrédulité face à des écrits dignes du cynisme de Gaspar Proust !
On s'explique... Récemment nous avons reçu le Plumaçon n°3 sur la boîte mail de la peña. Petite brochure promotionnelle et de communication de la mairie montoise exclusivement dédiée à la tauromachie. Dès l'ouverture, nous avons un sentiment désagréable qui nous envahit. Des mots nous écorchent les yeux. "Depuis le début de l'hiver, [...] la commission taurine s'attelle(nt) à cette tâche sérieuse et passionnante (celle de dresser le cartels de la future Madeleine)". Cette année nous avons eu en tout et pour tout une seule réunion. Côté travail actif on repassera.
Viennent ensuite les mots puant de lêche et de brossage dans le sens du poil de notre bon président "El conejo, le lapinou", GF pour ne pas le citer. Lui ne trouve rien de mieux que de créer une identité du Plumaçon à l'image de son aficion personnelle : "feria mixte organisée autour du tryptique "plaza de toros, de toreros et de gestes". Comment ? Vous pouvez répéter... Quand on était petits et qu'on disait des gros-mots on nous menaçait de nous laver la bouche avec du savon... et bien après avoir lu ça, c'est la première image qui nous vient à l'esprit. Laver la bouche de GF "El conejo, le lapinou" avec du savon, pour lui passer l'envie de parler d'identité montoise.
Malgré cela, nous décidons de poursuivre la lecture de ce "torchon"... grave erreur. Suit, une infâme auto congratulation digne de la pire des propagandes, décortiquant en forçant exagérément le trait, corrida par corrida, pire, spectacle taurin par spectacle taurin, la succès story de la Madeleine 2013. Du geste du Juli face aux toros qui "firent une nouvelle fois vibrer le Plumaçon" (mais où cela va-t-il s'arrêter ?) de Fuente Ymbro, à la "vraie graine de bon torero" de Clemente lors d'une novillada piquée "représentant un risque assumé" de Fuente Ymbro (encore eux, mais où cela va-t-il s'arrêter ?), en passant par "l'extraordinaire leçon technique du "profesor" Ponce (tient, tient comme c'est étrange de parler de Ponce) face à un manso d'un lot dont "l'exigence des organisateurs locaux a permis la présentation d'un lot digne" de Nuñez del Cuvillo(sic).
A cette heure, la nausée nous gagne ! Nous sommes contraints de stopper la lecture de ce "torche cul" numérique.
On demande à être pincer, re-pincer, re-re-pincer. C'est de l'humour et on ne nous aurait pas prévenu. Du second, troisème, quatrième degré. Du haut niveau d'auto-dérision ?Vivement la prochaine réunion de la Commission Taurine qu'on pose la question à ces "comiques" en puissance !
Viennent ensuite les mots puant de lêche et de brossage dans le sens du poil de notre bon président "El conejo, le lapinou", GF pour ne pas le citer. Lui ne trouve rien de mieux que de créer une identité du Plumaçon à l'image de son aficion personnelle : "feria mixte organisée autour du tryptique "plaza de toros, de toreros et de gestes". Comment ? Vous pouvez répéter... Quand on était petits et qu'on disait des gros-mots on nous menaçait de nous laver la bouche avec du savon... et bien après avoir lu ça, c'est la première image qui nous vient à l'esprit. Laver la bouche de GF "El conejo, le lapinou" avec du savon, pour lui passer l'envie de parler d'identité montoise.
Malgré cela, nous décidons de poursuivre la lecture de ce "torchon"... grave erreur. Suit, une infâme auto congratulation digne de la pire des propagandes, décortiquant en forçant exagérément le trait, corrida par corrida, pire, spectacle taurin par spectacle taurin, la succès story de la Madeleine 2013. Du geste du Juli face aux toros qui "firent une nouvelle fois vibrer le Plumaçon" (mais où cela va-t-il s'arrêter ?) de Fuente Ymbro, à la "vraie graine de bon torero" de Clemente lors d'une novillada piquée "représentant un risque assumé" de Fuente Ymbro (encore eux, mais où cela va-t-il s'arrêter ?), en passant par "l'extraordinaire leçon technique du "profesor" Ponce (tient, tient comme c'est étrange de parler de Ponce) face à un manso d'un lot dont "l'exigence des organisateurs locaux a permis la présentation d'un lot digne" de Nuñez del Cuvillo(sic).
A cette heure, la nausée nous gagne ! Nous sommes contraints de stopper la lecture de ce "torche cul" numérique.
On demande à être pincer, re-pincer, re-re-pincer. C'est de l'humour et on ne nous aurait pas prévenu. Du second, troisème, quatrième degré. Du haut niveau d'auto-dérision ?Vivement la prochaine réunion de la Commission Taurine qu'on pose la question à ces "comiques" en puissance !