Ainsi, la famille aristo alliait l'argent qui lui faisait défaut à ses titres de noblesses...
Bien évidemment ce genre de pratiques étaient très mal vue dans le monde aristocratique. Les pairs aristo qualifiaient ce type d'unions de "mésalliance".
Ce n'est donc pas un hasard si aujourd'hui des membres du G10, famille aristo-taurine de plus en plus en mal d'argent et de reconnaissance, souhaitent redorer leur blason, au sens premier du terme !
Ainsi, par voix de presse et de communication orchestrée à la sauce Vième symphonie de Beethoven version lourdissime, les aristo du G10, veulent faire accepter leur "mésalliance" avec des élevages roturiers dont il y a encore peu de temps ils se raillaient !
Le grand malheur dans cette pantomime, c'est qu'il y aura bien des paroisses qui célébreront ces unions de complaisance. Courbant ainsi l'échine sur le passage de ces "grands du monde taurin", justifiant la courbette d'allégeance par la simple raison qu'un mariage dans la monde aristocratique ne peut souffrir de doute encore moins de critique.
Espérons que la paroisse montoise restera digne et sourde aux chants des sirènes même grimées en Juli, Cid ou autres membres déchus d'une aristocratie taurine aussi ridicule que démunie.
Espérons que la paroisse montoise restera digne et sourde aux chants des sirènes même grimées en Juli, Cid ou autres membres déchus d'une aristocratie taurine aussi ridicule que démunie.