Depuis Manolete, on le sait, le toreo n'est plus une question de domination pure et âpre, mais plutôt une recherche permanente de l'esthétique, du beau, de la symbiose homme/animal... bref de la création artistique où tout geste n'est justifié que par la grâce. Pour se faire, c'est inévitable, les toros doivent coopérer.